The Cold Phoenix

The Cold Phoenix

Chapitre 2 - LLMP [prototype 1]

     Chapitre 2: Nassau en guerre

 

Le lendemain, Vane rendit visite à Nelly Borgia, au bordel. Il s'assit à la table où elle se trouvait et fît partir son client qui la regardait se déshabiller. Ce dernier décampa vite, n'osant pas se mesurer au capitaine le plus cruel des mers.

 

-"Dis-moi tout", dit-il.

-"De quoi parlez-vous?" répondit Borgia, qui ne comprenait pas.

-"De la carte, tu as empêchés les Hellway de parler pour garder les fonctions de la carte pour toi? Sauf que tu n'as pas la carte alors quoi? Tu ésperais me la prendre?"

-"Non, je vous assure. Je l'ai empêcher de parler parce que si il l'avait dit, tout le monde l'aurait su, les autres équipages y compris. Je comptait vous le dire une fois que nous aurions eu le trésor de l'épave, une fois que la carte n'aurait eu aucune valeur pour Logan Vaas et ses hommes.."

-"Ah.. Tu es très maligne à ce que je vois. Si tous mes mâtelots étaient comme toi... Bien, mais si tu veux rester en vie, ne dit rien à personne. A PERSONNE", insista-t-il.

-"Bien sûr", répondit-elle.

 

Malgrès cette discution, Vane n'était pas tranquille. Finch aussi lui avait gardé le secret. Mais pour quelle raison? Après tout Finch n'avait pas d'équipage, plus maintenant. Peut-être craignait-il que Vane ne devienne trop puissant. Le pouvoir fait toujours peur. Vane se dit alors que si il prennait garde à ne pas perdre sa demi carte, une fois récupérée, sans éveiller les soupçons et en prennant ses distances avec Connor Finch, tout irait bien pour lui.

Plus loin à coté des tentes de l'équipage de Vaas, Robert North et le vigie discutait.

 

-"Tu sais, je me disais un truc", commença le vigie.

-"Quoi donc", répondit North avec une sorte de petite euphorie.

-"Et bien d'après les déscriptions que l'on a du Marin Pourpre, je me suis dit que c'était peut-être Charles Vane. Tout concorde. Il est cruel, a les cheveux longs et un visage qui peut faire peur, et il quitte Nassau pendant de grandes périodes sans raison apparente..."

-"On ne peut pas savoir qui est le Marin Pourpre. Il est très très malin ce type. Il peut changer de caractère, de coupe de cheveux, se raser, se teindre avec ces produits que certains marchand vendent... Il y à d'énorme possibilités et plus encore de combinaisons possibles. Tout ce qu'il ne peut changer, c'est sa taille, et les cicatrices qu'il a sur le visage, mais en ne sais pas comment elles sont, juste qu'il en a. Même sa corpulence est inconnue, vu qu'il porte des vêtement plutôt amples... Ne te torture pas l'ésprit camarade. Cet homme est une ombre parmis nous.

-"Oui, tu as raison", répondit le vigie.

 

Soudain, un coup de canon se fit entendre, et une maison fût transpercée par le boulet. Il fût suivit par une floppée de tire sur la ville. Très vite la cloche d'alerte sonna. Nassau était attaquée par une demi-douzaine de navires, que personne n'avait le temps d'identifier.

 

-"Aux armes!!"

-"On nous attaque!!"

-"Allez dans le f-aaaaaaahh!!!"

 

Jobar Sidden, le commandant du fort, ordonna à ses hommes d'aller dans le fort afin de riposter. Mais ils fûrent bloqués par des hommes, visiblement des pirates, et ont dû les combattre. Les pirates inconnus fûrent rapidement victorieux et Sidden se fît prendre en jout, il ne pu alors rien faire. Sidden était brun, petit, environ quarante-cinq ans, barbu aux cheveux plutôt courts et bouclés.

 

-"Qui êtes-vous?! qu'est-ce que vous voulez?!"

 

Un pirate lui flanqua un coup de manche et Sidden grogna, puis fût forcé de se taire.

 

-"Nous avons prit le fort, camarades, et ce n'est qu'une question de temps avant que tout Nassau soit à nous!" hurla une femme, de taille moyenne, environ trente ans, brune foncé, plutôt jolie.

 

-"Vous commandez ces hommes?" questionna Sidden, aggressif.

-"Je suis la seconde. Laetitia Covalmant, ancienne corsaire de la marine française, pour vous servir."

-"Si c'était vraiment le cas vous me feriez liberer et m'emmeneriez dans un endroit pour me su"

 

Il fût interromput par un coup de poing de Covalmant.

 

-"Ces hommes de Nassau. Aucune manière vraiment", dit-elle l'air navrée.

-"Qui est ton capitaine, je veux le voir!"

 

Un pirate voulût lui mettre un autre coup de manche, mais Covalmant lui barra la route de sa main pleine de bijoux.

 

-"Inutile de le frapper dès qu'il dit un mot. Nous sommes civilisés sur notre île, soyons le ici aussi", dit elle."Tu verras mon capitaine très bientôt, et tu vas amèrement, très amèrement, le regretter, tu peux me croire."

-"Je doute qu'un homme sois capable de m'intimider à ce point-là, mademoiselle", dit Sidden, sarcastique.

-"Il y en a un."

 

Jobar Sidden la regarda, anxieux et curieux à la fois.

D'un autre coté de l'île, sur la plage, les équipages du Ranger et du Vindicator combattaient les pirates inconnus en première ligne. Malgrès cela, par leur nombre et leur éfficacité, ils une grande partie d'entre eux, parvenaient à passer cette ligne pour aller en ville.

 

-"Venez, chiens! Je vous atteeend!!" hurla Vane.

-"Tu changeras jamais dis?" répliqua Vaas, à quelques mètres, en souriant.

-"Sûrement pas!" répondit Vane, souriant lui aussi, entre deux coups de sabre.

 

Les deux hommes étaient plus de amis cachés sous une rivalité que des ennemies.

 

-"Aller!" hurla Vane en sortant son pistolet, avant de tirer sur le torse d'un pirate, l'arrêtant net.

-"Haha!" cria Vaas en transperçant la gorge du pirate suivant.

 

Ces deux hommes donnaient du fil à retordre à l'armée ennemie. Mais les pirates adverses étaient très nombreux et organisés.

Plus loin, Bonny et Lugo travaillaient en équipe pour contrer les vagues ennemies. Lugo balaya un pirate qui s'embrocha sur le sabre de Bonny, qui tira sur l'homme dans le dos de Lugo, prêt à le poignarder. Quelques victimes plus tard. Un couple apparût pour s'opposer à eux. La femme était une très jolie brune au visage d'ange, avec de la grâce dans chacun de ses mouvements, elle se battait avec deux dagues. L'homme était un jeune homme de vingt ans, légèrement plus jeune qu'elle donc. Il avait des cheveux bloncs courts, un physique sec et affuté, il se battait avec un sabre droit, et était d'une rapidité assomante. Les deux couples se battèrent, sans que l'un ne l'emporte sur l'autre, jusqu'à ce que des pirates mettent Bonny et Lugo en jout. Les deux amants déposèrent les armes, n'ayant aucune chance, même avec les incroyables capacités de Lugo.

 

-"Mais qui attaque cette ville? Et dans quel but?", s'exclama Bonny.

-"Notre capitaine, et commodore. Il vient reprendre ce qui lui appartient", répondit la femme du couple.

-"Ce qui lui appartient? Quoi donc?" répliqua Bonny.

-"Cette ville."

-"Qui êtes vous? Et qui est votre capitaine?"

-"Je suis Keira Boyle."

-"Moi Hennigan Lowe", reprit son amant.

-"Quand à notre capitaine, vous ferez bientôt sa connaissance. Restez ici sans bouger, et personne ne seras plus bléssé", conclut Boyle.

 

Vaas et Vane avait aussi été forçé de se rendre, étant eux aussi pris en jout. Nassau était vaincue. Tous les pirates alliés déposèrent les armes. Peu de temps après, Vaas, Vane, North, Lugo, Rakkham, Bonny, Sidden, Shella et tous les habitants encore en vie, c'est à dire environ 70% de la population initiale de Nassau, fûrent rassemblés devant les six navires ennemies. Une silhouette se apparût sur le navire le plus imposant. Un homme visiblement. Il portait un chapeau. On ne voyait aucun détail, la silouhette était noire, à cause du soleil derrière elle. On entendit alors des bruits de pas lourd, l'homme descendait du navire sur le quai. Sa seconde l'attendait juste devant le navire, à quelques pas de lui.

 

-"Nassau est à vous capitaine", annonça fièrement Covalmant.

 

L'homme toussa. Une fois sur le quai, on pouvait enfin voir son visage. Les habitants de Nassau tremblèrent en l'apercevant. Même Vane était bouche-bée. Sidden regrettait bel et bien sa venue. Même son équipage avait l'air plus inquiet qu'en pleine bataille. Il avait son sabre sur la hanche, ce sabre était très large. Et il portait ses trois pistolets sur le torse.

 

-"Enfin", dit-il alors, avec une voix grisante, satisfaite mais monotone.

 

C'était lui. La légende de la piraterie. Barbe Noire. Il avança sur le pont à pas lents, faisant craquer le bois sous ses bottes. Il déscendît sur la plage.

 

-"Où est la dirigeante de cette île?" lança-t-il à voix haute, et distincte, devant un public muet de peur.

-"Barricadée dans sa maison, capitaine", lui répondit Covalmant, calme mais légèrement inquiète quand même.

-"Allons frapper à sa porte", déclara-t-il.

 

Tout le monde se mît à marcher vers la maison de la dirigeante, derrière Barbe Noire.

 

-"Laetitia quel est le nom de celle qui prétend être la propriétaire de mon île?" interogea-t-il.

-"Elle se nomme Angelica Bonham. Le propriétaire du fort m'a dit qu'elle dirigeait avec son mari, jusqu'à ce que celui-ci disparaisse il y à moins d'un an", répondit sa seconde, qui marchait juste derrière lui, à sa droite.

 

Plus loin, Jobar Sidden questionnait les membres de l'équipage du Queen Anne's Revenge, navire célèbre de Barbe Noire.

 

-"Qu'est-ce qui vous plait à travailler pour un type comme Barbe Noire?"

-"Nous nous l'appelons Edward. Il n'est pas comme vous l'imaginez, il sait être juste, et respecte ses concitoyens", répondit tranquillement Keira Boyle.

-"Concitoyens?"

-"Oui. Edward Teach est le commodore de Freedom Island, il possède un haut statut car c'est lui qui nous à offert cette île où nous pouvons vivre librement, mais nous sommes tous des concitoyens, égaux devant la loi", expliqua Hennigan Lowe.

-"Ha, vous voulez dire SA loi?" répliqua Sidden avec un sourire narquois.

-"Un homme tel que vous ne peut comprendre", dit Keira, mettant fin à la conversation.

-"Je suis un homme de bien", dit-il alors avec un faux air hautain, sarcastique, en imitant une personne de la haute société.

 

Jobar Sidden avait un certain sens de l'humour. Mais il ne plaisait pas forcément à tout le monde. Bientôt la foule arriva devant la maison familiale des Bonham. Barbe Noire frappa à la porte, avec force.

 

-"Vous ne rentrerez jamais!"

 

Cette voix appartenait à Angelica Bonham. C'était une femme rousse, d'environ cinquante ans. Elle était très distinguée, polie, se tenait bien, et avait horreur de la violence. Cela ne l'empêcha pas cependant de succèder à son grand frère, disparût, dans son rôle de dirigeant de Nassau. Elle avait une façon bien à elle de faire fonctionné les choses. Pas de violence gratuite, un plus faible pourcentage perçu, et une certaine alliance entre tous en cas d'attaque, comme ce jour-là.

 

-"Allons bon.. Cette île m'appartient. C'est moi qui en premier ait ammené des corsaires sur cette île sous domination anglaise pour en faire un hâvre de liberté pour tout honnête pirate qui se respecte", dit alors Barbe Noire, calmement et distinctement.

-"Honnête?", répéta Angelica, derrière un canapé à l'étage près des escaliers, avec son frêre et sa garde rapprochée équipés de mousquets."Sous votre règne, cet endroit était infesté de boucaniers de bas étages, immondes et ne respectant rien ni personne. Je refuse de vous laisser recommencer de la sorte!"

-"Eh bien, tout homme a fait des erreurs au cours de sa vie. Ne dit-on pas que l'erreur est humaine. Un ami à moi allais même jusqu'à déclarer que la nature de l'être humain est impure. Mais tout homme à droit au pardon il me semble aussi. Il peut tout autant apprendre de ses erreurs. C'est ce que j'ai fait, et je suis désormais accompagné d'hommes et de femmes libres, sachant vivre en société. Cette île a besoin d'un meilleur gouvernant, quelqu'un qui respecterait le travail de ses habitants. Sous MON règne, les habitants de cette île ne seront plus taxés sur leur marchandise. Les richesses serviront à améliorer la qualité de ville ici. Et son gouverneur travaillera de concert avec tout le monde, il ne restera pas dans son joli palace a flemmarder avec ses serviteurs tel un parasite."

-"Nous n'avons aucun serviteur. Et je ne suis pas un parasite, votre irrespect démontre à lui seul la nature de votre ésprit. Des envies de gouverner sur le monde de la piraterie, égocentrique et ambitieux plus que nécessaire."

-"Des hommes de mains. Des femmes de chambres. Appelez-les comme vous le souhaiter, ils n'en sont pas plus que des individus à votre botte. Vous parlez d'ambition? Ha, qu'est-ce qui à ammené les hommes d'Europe vers ces contrées si ce n'est l'ambition? Et qu'en est-il de l'ambition qui m'a mené à fonder cette ville, sans quoi vous ne seriez pas dans cette somptueuse demeure. L'ambition n'est pas un défaut qu'il faut réprimé, mais une qualité d'ésprit qu'il faut encouragé."

-"Vous avez tout à fait le droit d'avoir votre avis. Mais vous ne prendrez pas cette maison je vous l'assure."

-"C'est ce que nous verrons."

 

Laetitia Covalmant s'avança vers la porte.

 

-"Nous allons démolir cette porte, et vous mourrez tous!" hurla-t-elle.

 

Barbe Noire mît sa main devant elle.

 

-"Inutile de verser du sang inutilement. Restons courtois. Cette femme n'est pas une barbare mais une personne à l'ésprit vif. Une personne de qualité", dit-il en souriant."Très bien",reprit-il à voix haute,"nous gardons cette ville et nous-y installons. Vous sortirez bien tôt ou tard. En attendant, mon quartier général sera devant votre chevet. Allez mâtelots, que l'on ammène les tentes. Cette ville est à nous."

 

*****

 

Le soir, North rendît visite à Barbe Noire.

 

-"Excusez-moi, j'aimerais vous demander.."

-"Je t'écoute mâtelot", dit immédiatement Barbe Noire.

-"Eh bien, tout à l'heure vous avez parlez de la phrase célèbre du Marin Pourpre en disant qu'il était votre ami."

-"C'est exact. Cet homme et moi nous partageons beaucoup de choses."

-"Vous connaissez son identité."

-"Oui. Mais je ne te dirais pas qui il est. Tu peux déjà faire une croix là-dessus."

-"Vous avez eu de ses nouvelles récemment."

-"Non, je ne l'ai pas revu depuis sa disparition. Il ne fait pas les choses à moitier. Quel que soit son plan, il fera ce qu'il faut pour attendre son but, qui doit largement valoir le coup. Il est très malin. Un conseil camarade, ne te frotte pas à lui. Enfin si tu tiens à la vie. Tout comme moi d'ailleurs. Ne te met pas sur ma route."

-"Vous ne savez vraiment pas ce qu'il prépare?"

-"Non."

-"D'accord, merci pour ces réponses."

 

Barbe Noire sourit en coin. North partit. Il arriva plus tard sur le Vindicator, dans les quartiers du capitaine. Il vît alors Logan Vaas au milieu d'un désordre, en train de râler.

 

-"Que se passe-t-il cap'taine?"

-"La demi carte. Elle a disparût. Quelqu'un a profité de la bataille pour nous la subtiliser."

-"Vane..."

-"Impossible. Il se battait à mes cotés. Nan, quelqu'un d'exterieur... Mais enfin, peu importe. Le trésor n'est plus dans l'épave. Cet imbécil ne tirera rien de son vole. Haha, j'aimerais bien voir sa tête", ria Vaas.

 

En mer, partit depuis quelques heures de l'île de New Providence (île où se trouve Nassau), se trouvais le voleur en question, qui avait donc réussit à reformer la carte de Jong. Sur le White Hellfire se trouvait donc Karle Schossandüss, dans ses quartiers avec son second, Alexandre Sevarin, un français de trente ans environ. Sevarin avait la peau légèrement mate, des cheveux foncés et plutôt courts, une barbe légère.

 

-"Où allons nous capitaine? Qu'y a-t-il dans le sud de si important?

-"Nous allons en Amérique du sud, sur une île cachée par la végétation, prêt du continent.

-"Qu'y a-t-il là-bas?"

-"D'après la croix 4 de la carte de Jong, c'est une île de l'archipel Fernando de 

Noronha. Il y à au dos de cette carte des explications sur chaque trésor. Vane et ses compaires étaient si préssés de trouver le trésor de l'épave de l'Impoluto qu'ils ne l'ont même pas vus... Les imbéciles. La croix 4 représente donc le Calice d'Hadès."

-"Qu'est-ce que c'est?"

-"D'après les légendes, cette calice, avec le rituel approprié, permettrait au capitaine, à son navire et à son équipage entier l'immortalité. Hahahahahahaha!! On sera les maîtres de tout l'océan mon ami!"

-"Incroyable..." fît Sevarin."On doit absolument la trouver..."

-"Oui surtout que d'après ces mêmes légendes, cela ne peut marcher qu'une seule et unique fois. On doit arrivés et la trouver les premiers."

-"Et si quelqu'un l'a déjà utilisé?"

-"Voyons ne soit pas idiot Alexandre. Si un navire et son équipage étaient immortels, il y aurait au moins des rumeurs sur eux", répliqua calmement Schossandüss."Nan, on arrivera les premiers."

-"Et pour connaître sa situation exacte sur l'île, et le rituel nécessaire, on fera comment?"

-"Connais-tu la secte des Yeux de Balkhast? C'est un groupe d'éspèces de sorciers vaudous étranges qui pratiquent toutes sortes de rituels. La majorité de la secte se situe sur les côtes du Brésil. On en trouvera sûrement. Ils parleront si on leur agite un peu d'or sous les yeux", conclut Schossandüss.

 

*****

 

Pluseurs jours plus tard, le 3 mars 1716 à Nassau, Angelica Bonham était toujours barricadée dans sa maison.

 

-"Vous devez lâcher prise madame", lui dit son serviteur.

-"Jamais je ne laisserais une bande de barbares illétrés gouverner cette île et la pervertir de la façon la plus immonde qui soit", répondit sèchement Angelica.

-"Mais nous finirons bien par sortir, sinon nous mourrons de faim. Ils ne nous laissent pas le choix. Si nous sortions maintenant, au moins pourrez-vous vivre pour reprendre le contrôle plus tard..."

-"Tu... Tu as raison. C'est un avis sage que tu me donnes là."

 

Quelques minutes plus tard, Angelica Bonham, son petit frère Edward Bonham, et leurs serviteurs et gardes, sortirent tous de la maison pour se rendre, devant un Barbe Noire qui resta de marbre. Elle n'u pas le temps de parler qu'elle fût interrompue par un homme seul, habillé d'un tricorn rouge foncé et d'un long manteau plutôt fin de couleur blanche éclatante, sur lequel il y avait un symbole vert clair en forme de baril avec une mèche, situé au niveau du coeur. On pouvait distinguer des yeux bleus et des cheveux blonds plutôt longs sous son tricorne.

 

-"Te rendre ne sera pas nécessaire, chère Angelica", dit-il.

-"Eeet.... A qui, ai-je l'honneur?" répondit-elle, incrédule.

-"Je suis Hatch Maynard. Je représente l'Iunctio."

-"Cette éspèce de gang?" lança Vaas, lui aussi présent.

-"Pas un gang. Nous sommes un groupuscule. Notre but final est la disparition totale de toutes frontières."

-"Et que venez vous donc faire ici? Je ne vois aucune frontière", lui dit Barbe Noire en ricanant.

-"Nous ne pouvons laisser un homme tel que vous prendre cette île. C'est ce genre d'acte qui déclenche des guerres. Madame Bonham est pour l'instant le meilleur choix selon l'Iunctio."

-"Et que proposes-tu cher ami?" continua Barbe Noire en souriant.

-"Quittez cette île. Vous et tous vos mâtelots. En cas de refus, les autres membres de l'Iunctio et moi-même nous verrions obligés d'utiliser la force."

-"Mmm... Et bien, un capitaine se doit de savoir être sage quand cela s'avère être nécessaire. Après tout, combattre votre groupuscule, dont l'éfficacité a été prouvée à maintes reprises en plus des habitants de cette ville serait un mauvais choix."

-"D'autant qu'on ne sait pas comment ils sont nombreux..." ajouta Covalmant.

-"Oui.. Nous retournons sur Freedom Island mes amis."

 

Sur ces mots Barbe Noire et ses pirates fîrent route vers les quais. Vaas regardait Hatch avec un regard soupçonneux. Son nom lui disait quelque chose. Tout d'un coup il fît un petit mouvement sec de la tête, comme quand on se rappelle enfin d'un détail.

 

-"Hatch Maynard", dit-il à voix haute."Tu n'étais pas le second du Marin Pourpre sur le Phoenix Phantom Fist?"

-"Exact. Mais je ne le suis plus aujourd'hui."

-"Où est ton ancien capitaine?" demanda alors North.

-"Je n'en ai aucune idée. Il a disparut du jour au lendemain sans rien dire à personne, abandonnant tous ses mâtelots. Aujourd'hui je fais partie d'Iunctio, ces gens sont devenus ma famille, et me respecte bien mieux que le Marin Pourpre. Je suis bien mieux, je ne regrette pas du tout le Phoenix Phantom Fist."

-"Le nom du Marin Pourpre... C'est Lugo n'est-ce pas?" intervint Edward Bonham."J'ai ouïe dire qu'il était français, d'origine italienne."

 

Edward était agé de quarante-deux ans, mais en parassait facilement trente-cinq. Il était roux, les cheveux plutôt courts, bien coiffés. Il était grand et fin. Il n'avait jamais l'air sûr de lui, peut-être parce que ses parents n'avaient pas très fait attention à lui, n'ayant aucune chance de les succèder dans la gouvernance de Nassau. Les yeux se braquèrent tous à la fois sur Hatch Maynard, et sur Dante Lugo.

 

-"Oui c'est cela. Fabio Lugo", répondit alors Hatch.

 

Tous le monde était perdu. Ils regardèrent tous Lugo, attendant des explications. Il regardait le sol la bouche entrouverte, comme si il ne voulait pas croire à ce qu'il venait d'entendre. Il leva la tête vers ses compairs en fronçant les sourcils, toujours incrédule. Après un bref instant il fixa Hatch.

 

-"C'est impossible. Fabio était mon frère. Il est mort quand nous étions encore en France."

-"Tu ne l'a pas reconnut quand tu étais dans son équipage?" lui demanda alors Rakkham.

-"Je ne me rappelle que peu de son visage, et nous étions enfants. De plus je n'ai pas cotoyer mon capitaine directement, ni Hatch d'ailleurs. Je n'étais pas très gradé... C'est impossible..."

-"En tout cas c'est le nom qu'il m'a donné", dit Hatch Maynard avant de partir.

-"Eh bien", dit Vaas,"le Marin Pourpre serait le défunt frère de notre ami Dante. Et on ne sait toujours pas si il est re-mort... Drôle d'histoire. Moi il me faut du rhum."

 

La foule s'éparpilla dans la ville. Tout le monde vaquait à ses occupations, qui consistait principalement à réparé les dégats causés par la bataille. Lugo regardait le sol, l'air pensif. Anne Bonny se mît dans son dos et le prit dans ses bras.

 

-"Ca va aller. On finira bien par découvrir la vérité. Sois fort, comme tu l'es toujours", dit-elle. Ton frère est peut-être toujours en vie finalement. C'est une bonne nouvelle!" dit-elle avec joie.

-"Oui. Nous verrons bien", répondit-il en se retournant."Pour l'instant nous devons réparer la ville."

-"Logan, je dois te parler", interpela Angelica Bonham.

 

Logan Vaas entra donc de la maison des Bonham, pour discuter avec elle.

Sur la plage de New Providence, il n'y avait déjà plus la flotte de Barbe Noire. Il était déjà en mer, voguant sur son Queen Anne's Revenge, cap sur Freedom Island. Sur le dernier navire de la rangée, se trouvait Keira Boyle et Hennigan Lowe.

 

-"Haha, regarde ça!" ria Lowe.

 

Il avait le goulot d'une bouteille de rhum sur le nez, en équilibre.

 

-"Ha, un vrai gamin, tu changeras jamais Hennigan!" dit joyeusement sa fiancée.

-"Et là... Là, mate ça!!" répliqua-t-il, riant d'autant plus.

 

Il venait de placer une deuxième bouteille en équilibre sur la première. Hennigan Lowe était doué d'une agilité sans pareil. C'était un jeune homme plein de vie. Il était arrivé sur Freedom Island en cherchant un horizon où les guerres et taxes du monde exterieur, notament le Common Wealth, ne pouvait pénétrer. Il a alors rencontré dès son arrivée sur le quai, une magnifique jeune femme qui était née d'une famille très respectable d'Angleterre, mais qui était alors connue pour être une voleuse doublée d'une traître à la couronne. Si Keira prennait ses distances au débuts, elle finit par se rapprocher d'Hennigan, voyant quel homme joyeux, bon et fondamentalement gentil il était. C'était quelqu'un qui réspirait la joie de vivre, l'optimisme.

Hennigan Lowe laissa tomber les bouteilles pour les rattrapées au vol et les ouvrir d'un coup de pouce habile, et en tendît une à Keira avant de boire une gorgée dans la sienne. Keira la prit avec un énorme sourire sur son visage.

 

-"Aaah c'est comme ça que je t'aime", dit-elle les yeux pleins d'étoiles avant d'embrasser son bien-aimé.

 

Dans le bureau personnel d'Angelica Bonham, l'ambiance était bien moins agréable.

 

-"Prend place", dit Angelica.

-"Qu'y a-t-il donc aujourd'hui? J'éspère que ca vallait le coup pour m'avoir fait raté une bonne bouteille de rhum comme y'en a seulement Au Marin Joyeux", dit Vaas en s'asseyant.

-"Joyeux c'est tout ce que les habitants de cette île ne devraient pas être. Non seulement nous avons été attaqués et avons subit de lourdes pertes en termes de constructions et d'effectifs humains, mais de plus gros problèmes encore nous guettent à l'horizon", dit Angelica avec son air serieux habituel.

-"Et quels sont ces problèmes madame?" répondu Vaas avec un air lassé.

-"Ginnie Carter."

-"Encore cette bourgeoise anglaise? On en aura jamais finit avec ses conneries-là?" rétorqua Vaas, qui visiblement sentait déjà les gros ennuis arriver.

-"Non, ceci n'est que le commencement. Je vous prierais de bien vouloir vous soumettre à un certain code de langage lorsque vous vous trouvez en ma demeure."

-"Ah oui c'est vrai..." soupira Vaas."Alors qué pasa señora?"

-"Ce qui se passe c'est que madame Carter ma rivale bien aimée -c'est du sarcasmasme- a arrosé toutes les personnes importantes de Kingston pour que son fils de quinze ans, Jamie Carter, devienne l'amiral de flotte de Kingston."

-"A cet âge? Putain elle a dû arroser la ville quelque chose de bien celle-là!"

-"Votre langage, monsieur Vaas, seigneur Dieu!"

-"Ouais bon, tranquille hein..." râla Vaas.

-"Hum. En effet Ginnie Carter possède désormais la fortune d'une personne aisée, sans plus. Elle n'a donc plus d'influence directe sur Kingston, ou où que ce soit. Elle n'a plus d'influence indirecte non plus, car son arrogant de fils ne l'écoute absolument pas et n'en fait qu'à sa petite tête d'adolescent gaté."

-"Et bin c'est une bonne nouvelle si elle a plus de pouvoir!"

-"Pas si son fils est encore plus puissant et plus teigneux. Cet enfant exécute tous ses plus fugaces désirs. Et l a plus encore que le pouvoir de l'argent, celui de la couronne. Tous les habitants de Kingston sans exception doivent obéir à ses ordres les plus absurdes et ne peuvent absolument rien faire."

-"Ouais bon, et alors?" répondu Vaas.

-"Alors il se trouve que ce petit insolant à décidé que Nassau n'était pas en rêgle avec la couronne. Nous devons donc faire parvenir ce faux livre de compte pour prouver qu'il ne se passe rien d'illégal ici et que nous ne marchandons pas avec les pirates, ennemies de la couronne par excellence."

-"Ce qui est le cas, héhé", ricana Vaas.

 

Angelica tenda la lettre à Vaas qui la prît.

 

-"J'ai donc décider de vous envoyer vous et votre équipage rêgler ce problème."

-"Très bien, j'imagine qu'on n'a pas le choix. On a tous ici besoin de Nassau. Nous partirons demain dès l'aube."

-"Ne vous faites pas attraper en possession de quoi que ce soit d'illicite; présentez-vous bien, aussi bien dans votre accoutrement que dans votre langage. Et évitez de tenir tête au nouveau amiral de flotte, même si l'envie vous vient."

-"Sur ce je vous laisse et me rend de ce pas Au Marin Joyeux", déclara Vaas en riant.

-"Hhh.. Faîtes donc."

 

Plus loin, sur la plage, Charles Vane et Jack Rakkham étaient en pleine discussion.

 

-"Tu sais quoi?" dit Vane,"Le White Hellfire a mit les voiles pendant la bataille. Ce lâche de hollandais."

-"Il est malin. Je suppose qu'il doit avoir voler la demi carte de Logan Vaas, sinon il ne serait pas partit."

-"Evidemment. Et Logan a rien vu venir."

-"On aurait peut-être dû le prevenir qu'on nous avait volé notre partie, sans lui dire le reste, au moins il aurait protégé la sienne et Schossandüss serait encore là."

-"Moui m'enfin dans ce cas ma réputation en aurait pris un coup."

-"Arrête de penser qu'à ta réputation, t'as vu où ça t'a mené!"

 

Vane prît Rakkham par le coup violement.

 

-"Je t'interdis de me parler, sur ce ton. Je récupererais la carte, question de temps", conclut Vane.

 

Dante Lugo s'était rendu à l'église. Il était assis sur le troisième banc du devant.

 

-"Aujourd'hui encore, Dieu, je me montre devant toi humble, et surtout, perdu. J'ai bien compris que je le serais jusqu'à la fin de mes jours sur Terre. On dit que tes voies sont impénétrables. Peut-être que c'est plutôt nous l'être humain, qui ne comprend rien à rien. Qu'est-ce que tu dois être en train de te dire de nous. Parfois je me pose une question. Si tu nous as créés, et que nous sommes si imparfaits, est-ce là ton intention? Mais dans ce cas pourquoi avoir fait des êtres tel que nous? Quel en est l'intérêt? Je... Je ne suis même pas sûr de faire ce que j'ai de mieux à faire... Mais je suppose que c'est l'intention qui compte, comme on dit. Non c'est faux. C'est le résultat qui compte. SAUF, si malgrés un résultat non idéal, la recherche elle, a portés ses fruits. Si on est parvenu à faire avancer l'humanité à sa grande échelle pour qu'elle trouve la réponse. La réponse à que faut-il faire devant un tel spectacle. C'est ce que je fais. Je me crée mon propre chemin, quoiqu'on en dise, et je laisserais ainsi un héritage pour ceux qui me suivront. Laisser MON cheminement à moi comme exemple, bon ou mauvais, qui peut dès maintenant agir et faire réfléchir le reste du monde. Voilà mon credo."

 

Pendant ce temps, Au Marin Joyeux, North, Finch et Vaas discutaient des récentes révèlations.

 

-"Alors le Marin Pourpre serait un homme qui est censé être déjà mort?" lança Vaas en arrivant à la table des deux autres hommes.

-"Je reste sceptique", répliqua Finch."Tu as vu la tête de Dante? Il était absolument certain que son frère Fabio soit mort il y à longtemps. Mon avis, c'est que le Marin Pourpre est malin, très malin. Je pense qu'il a donné une fausse identité à son second, et à tout prévu. Il savait que lui ou un autre de ses proches mâtelots finirait par le raconter, et ainsi tout le monde penserait que c'est vrai de source sûre. Alors qu'en fait non. Rusé comme un renard cet homme."

-"Ouii... Ca se tient. Toi non plus t'es loin d'être bête Connor", remarqua North.

-"Merci Bobbie", dit Finch en ricanant, légèrement gèné."Tout ça nous ramène à la même conclusion. Le Marin Pourpre est aussi vivant que vous et moi."

-"C'est pas très rassurant tout ça. Sans oublier Barbe Noire qui veut reprendre Nassau, Iunctio qui veulent on ne sait quoi, et le nouvel amiral de flotte de Kingston... En ce moment j'aimerais mieux être à Londres", dit Vaas.

-"Nouvel amiral de flotte de Kingston?" répétèrent North et Finch.

-"Oui, Jamie Carter, le fils de Ginnie. Elle a arrosé la ville et son mioche à eu la place d'honneur. Et ce petit à décreté que Nassau était redevenue louche."

-"C'est du délire là", dit North.

-"Je le crois paaas..." dit Finch.

-"Je vous le dit, mauvaise periode pour des pirates", conclut Vaas.

-"Sur ce coup, chui d'accord", répliqua North.

-"Du coup i faut amener une fausse preuve à Kingston pour leur dire qu'on est des gentils petits anglais. Et devine quoi Bobbie, c'est nous qu'on s'y colle."

-"Bin ouais tiens! Serieux.."

 

Vane retourna dans sa tente. Nelly Borgia l'attendait.

 

-"Alors comme ça il parait que l'hollandais est partit avec la carte en entier."

-"Comment sais-tu ça?" réagit Vane.

-"Les murs on des oreilles. Et ce ne sont pas les seuls. Ne sous-estime pas toutes les putains."

-"Je vous éstime à votre juste valeur, je n'y peux rien si elle n'est pas élevé", répliqua Vane en souriant de façon narquoise.

-"Dans ce cas pourquoi avons nous cette discution?" répondit Borgia avec un sourire en coin.

-"Bah. Bon parlons affaire. Le hollandais va bien finir par revenir à Nassau après sa première chasse. On pourra en profiter pour lui reprendre la carte et le trésor en question comme intérêt."

-"Bien. Mais si nous ne sommes pas là pour le faire? On ne sait absolument pas où il est allé ni quand il voudra revenir."

-"Je suppose que tu as une idée en tête."

-"Haha, c'est bien le cas en effet", répondit Borgia en souriant."Je reste au bordel jusqu'à ce qu'il revienne, et je lui vole la carte soit directement soit en me renseignant via un de ses mâtelots. Je sais comment faire n'ai crainte. Succès garanti à cent pour cent."

-"Et pour le trésor?"

-"Quel que soit ce trésor, il le conservera sur son navire, probablement dans ses quartiers. J'attendrais ton retour et avec l'équipage, nous les attaquerons à la tombée de la nuit. Ne t'en fais pas, si il n'a plus la carte, il restera en ville pour retrouver celui -ou celle- qui a fait le coup. Et il ne me trouvera certainement pas."

-"Bien. Bon plan. Tu peux disposer."

 

Borgia commença à sortir de la tente et fût interrompue.

 

-"Après m'avoir fait profiter de tes services de nuit. Puisque tu es dans ma tente, autant être venu pour une bonne raison."

 

Borgia se retourna et chevaucha Vane...

Dans la maison des Bonham, Angelica discutait avec Edward.

 

-"Angelica, il faut que je te parle de quelque chose."

-"Je t'écoute Edward, qu'y a-t-il?"

-"J'ai eu un témoignage d'un pirate... Et c'est à la fois étrange, bouleversant et probablement une bonne nouvelle..."

-"Et bien alors dis-moi. Qu'attends-tu?" répondit Angelica.

-"C'est à propos de Dave. Il a été aperçu dans les rues de Boston."

-"Comment ça?!"

-"Tu m'as bien compris. Un pirate l'a aprerçu, il m'a assuré l'avoir bien regardé, et c'est <<son portrait craché>>. Il m'a aussi dit qu'il ne pu le suivre parce qu'il était emmené par des gardes pas très commodes", expliqua Edward.

-"... Il y à presque un an, le 11 mars, jamais je n'oublierait cette date. Ce jour-là, mon fiancé bien-aimé et notre mère on tous deux disparus sans laisser de trace... Il y à un peu plus d'un mois, ce fût au tour de Dave, notre grand frère, gouverneur renplaçant notre mère, de disparaître dans la nature. Et aujourd'hui que j'ai perdu tout espoir, tu me dis qu'il a été vu à Boston, escorté par des gardes?"

 

Angelica s'écroula sur le canapé. Elle était bel et bien bouleversée par cette nouvelle.

 

-"Nous devons à tout prix nous y rendre, et le plus tôt sera le mieux", déclara Edward.

-"Et avec quel navire? On aura peut-être besoin de bras pour le sortir de là, si il est vraiment à Boston."

-"Même sans Logan Vaas, il y aura bien quelqu'un qui acceptera de nous aider! Après tout même si il s'agit d'affaires personnelles, c'est notre famille qui a fait de Nassau ce qu'elle est aujourd'hui!"

-"Je crains que les autres ne le vois pas nécessairement de ce point de vue. Ne t'en fais pas mon cher frère, je trouverai quelqu'un."

 



08/07/2016
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 6 autres membres